
Des sources officielles d’informations météo souvent partielles et contradictoires, ajoutées à la nouvelle interdiction « d’aller y voir » transforment tout voyage VFR en parcours du combattant…
Le pilote VFR doit voler en conditions VMC, soit en gros avec un plafond d’au moins 1.500 pieds/sol et une visibilité de 5 km. Avec les « Opérations aériennes » version EASA (NCO d’août 2016), lorsqu’il part en voyage, il doit vérifier que ces minima sont observés sur… tout le parcours. Non seulement à l’heure du départ mais aussi, suivant la nouvelle réglementation, à l’heure d’arrivée. [Lire plus…]








